La tuberculose est une maladie grave, contagieuse. Elle est
donc due à un microbe. dans les pays, elle constitue un
véritable fléau social car la plupart des tuberculeux sont soignés chez eux et
contaminent leur entourage. Il arrive de rencontrer des familles entières de
tuberculeux, On ne peut avoir une idée exacte du pourcentage de tuberculeux car
beaucoup d’entre eux, en particulier dans les campagnes, ne consultent pas
régulièrement le médecin. Mais on peut cependant affirmer que la tuberculose se
place au premier plan des maladies à vaincre en Afrique.
II existe plusieurs formes de tuberculose suivant
les
organes où le microbe se localise il y a une tuberculose rénale,
intestinale,
osseuse.... Mais la forme la plus fréquente est la TUBERCULOSE PULMONAIRE qui représente 90 % des cas. C’est donc elle que nous
étudierons en
détail pour savoir comment évolue cette maladie et comment, par
l’application
de règles d’hygiène très strictes, on peut essayer de limiter
l’extension de ce
fléau.
- La tuberculose pulmonaire.
1) Les symptômes de la maladie.
Le sujet atteint est pâle, avec les yeux brillants, Il a une
petite toux sèche. Il maigrit. Chaque soir s’installe une fièvre assez peu
élevée qui disparaît la nuit après une forte transpiration. Puis,
insensiblement, les quintes de toux augmentent d’intensité. Elles sont
accompagnées de crachats. Parfois ces crachats sont sanguinolents.
Si le su jet consulte le médecin, I’ EXAMEN RADIOSCOPIQUE
révèle l’existence de « CAVERNES » c’est-à-dire de poches où le tissu
pulmonaire est complètement détruit. Le diagnostic est confirmé par l’ANALYSE
MICROSCOPIQUE des crachats où l’on observe le germe microbien responsable de la
maladie le bacille tuberculeux.
Les symptômes apparents de la tuberculose doivent être
confirmés par l’examen radioscopique et l’analyse des crachats.
2) Le bacille tuberculeux et ses propriétés.
C’est (image 1) un bacille très petit qui fut observé pour
la première fois par KOCH,
savant allemand. On l’appelle couramment « BACILLE DE KOCH »
ou même «B. K. ».
Ce bacille possède des caractères très particuliers
- il est entouré d’une membrane cireuse, très épaisse, qui
le protège efficacement;
- il est très sensible à la chaleur (il est tué par
l’ébullition) et au soleil
Par contre, le froid ne le tue pas. La température qui
semble lui convenir le
mieux est celle de 37-38° (donc celle de notre corps);
- il résiste à l’action de l’alcool. Il est tué par certains
antiseptiques tels que l’eau de Javel et le formai.
Le Bacille tuberculeux ou « B. K. » possède des
caractéristiques très particulières : grande sensibilité certains facteurs,
résistance à certains autres.
3) La progression du microbe dans l’organisme.
On l’à étudiée en provoquant la tuberculose chez un animal
qui est très réceptif au B.K. le cobaye. En injectant des B.K. à un cobaye, on
le rend tuberculeux. Au bout d’un certain temps, la dissection montre que les
organes internes, en particulier e foie et les poumons, présentent de nombreux
« tubercules », d’où le nom de la maladie. On peut se rendre compte aussi que
le microbe s’est répandu dans l’organisme suivant les étapes types de «
l’infection microbienne »
-au point d’inoculation, formation d’une petite tumeur ou «
chancre »
- puis réaction des ganglions de la patte inoculée;
- enfin, atteinte de tout l’organisme ou de certains organes
en particulier.
Le B. K. progresse dans l’organisme suivant les trois étapes
d’une autre infection
microbienne.
LA CONTAMINATION.
- Le plus souvent la maladie s’attrapé par contact direct
avec un tuberculeux:
celui-ci répand autour de lui, en toussant, ou même en
parlant, des gouttelettes de salive qui renferment des B.K. Les personnes du
voisinage sont alors contaminées. On pense que la pénétration du Bacille dans
l’organisme d’un sujet sain peut se faire suivant deux voies
• par voie pulmonaire si les particules nocives sont
inspirées avec l’air. Elles arrivent alors directement dans une alvéole
pulmonaire où la pénétration dans le poumon est facile (en effet, la paroi des
alvéoles pulmonaires est extrêmement fine. Certains pensent même qu’elle est
inexistante),
• par voie intestinale si les particules nocives sont
dégluties. Les B.K. traversent alors la paroi intestinale avec les aliments et,
véhiculés par le sang, arrivent au
niveau d’une alvéole pulmonaire.
- Mais, les B.K. peuvent atteindre indirectement des
sujets sains: un tuberculeux a craché par terre, par exemple. Des mouches
se promènent sur les crachats,
puis vont ensuite se poser sur les aliments.
- Parfois, la contamination se fait à partir d’aliments
provenant d’animaux malades. Exemple : le lait d’une vache tuberculeuse
renferme des B.K.
L’ INFECTION.
L’infection se fait alors conformément à ce qui a été
observé chez le cobaye.
Elle correspond à trois étapes d’une lutte entre le B.K. et
les éléments de défense de
l’organisme
- au niveau de la pénétration des B.K., « chancre
d’inoculation »
- au niveau des ganglions lymphatiques;
- dans les tubercules des poumons.
A chacun de ces niveaux, la lutte revêt des modalités très particulières
à la tuberculose. Que se passe-t-il?
- Une phagocytose inefficace. Les globules blancs du
sang phagocytent les. B.K., comme tout autre microbe, mais n’arrivent pas à les
« digérer ». En effet, les 6K. sont parfaitement protégés par leur coque cireuse
contre les sucs digestifs des globules blancs. Ce sont, eux, au contraire, qui
sont détruits par les bacilles englobés.
- Formation de « tubercules »: de nouveaux globules
blancs et d’autres « cellules de défense » de l’organisme, capables aussi de
phagocytose, entourent les globules blancs qui ont succombé, formant autour
d’eux une « barrière solide ». Cet amas ainsi constitué est un « follicule
tuberculeux ». Il comprend
• au centre, une « masse centrale », faite de globules
blancs détruits
• dans cette masse centrale, les B.K. qui ont détruit les
globules blancs
• tout autour, la barrière constituée par des globules
blancs nouveaux et d’autres cellules de défense de l’organisme.
Plusieurs follicules se groupent, formant un « tubercule »
dont la taille peut aller
de celle d’une tête d’épingle à celle d’une noisette. Dans
ces tubercules; les B.K. sont
emprisonnés, mais toujours vivants.
- Evolution des tubercules: formation des cavernes: à
l’intérieur des tubercules, les B.K. continuent à se développer et la masse
centrale se transforme, prenant la consistance d’un fromage trop fait : on dit
que le tubercule se « caséifie ». La paroi du tubercule cède bientôt et son
contenu s’écoule dans une bronche, remonte la trachée et constitue l’essentiel
d’un «crachat ». Le malade rejette des B.K. et devient contagieux. D’autre
part, à l’emplacement du tubercule vidé se trouve une CAVERNE. Les bords
déchirés de cette caverne sont de nouveaux points de pénétration pour les
bacilles de Koch qui ne se sont pas écoulés à l’extérieur t Ta tuberculose
progresse peu à peu. Le nombre de cavernes augmentant, le tissu pulmonaire est
de plus en plus détruit. Arrive un moment où la respiration se fait difficile.
Des vaisseaux sanguins peuvent se rompre, provoquant des hémorragies. Et la
mort arrive.
La formation de « tubercules », tris caractéristiques de la
tuberculose, correspond à un moyen de défense de l’organisme contre des
microbes très difficiles à «digérer ». La formation de ces tubercules précède
celle des cavernes.
2 - La lutte antituberculeuse.
La tuberculose est une maladie grave, d’abord pour
l’individu qui en est atteint
si on ne le soigne pas, celui-ci est menacé par une mort
plus ou moins rapide. Mais elle l’est
aussi pour la société parce que c’est une maladie très
contagieuse : tout individu atteint contamine son entourage et la tuberculose
s’étend rapidement dans une population.
Aussi la lutte contre cette maladie doit se faire à deux
niveaux :
- traitement des malades, pour essayer de les guérir
(et on évite par là même des contagions);
- protection des populations: on préserve de la
tuberculose les individus sains. Le principe de l’hygiène s « mieux vaut
prévenir que guérir » n’est jamais aussi vrai que pour la tuberculose.
1) Traitement de la tuberculose.
Le traitement de la tuberculose relève de la compétence d’un
médecin. Nous ne nous étendrons pas sur cette question, mais il est important
de savoir
Plus un malade est soigné tôt, plus il a de chances de
guérir. Il ne faut pas craindre de consulter un médecin, de se rendre à un
dispensaire dès l’apparition d’un ou plusieurs symptômes anormaux
amaigrissement, toux, sueurs nocturnes, fatigue inexpliquée. Certes, ces signes
ne recouvrent pas toujours une tuberculose, mais le médecin saura les prendre en
considération. C’est par la radio et par l’analyse microscopique des crachats,
qu’il diagnostiquera une tuberculose.
Le traitement efficace de la tuberculose est une des grandes
victoires de la médecine. C’est aussi une des plus récentes. li y a encore 50
ans, les chances de guérison étaient minimes. C’est en 1944, avec la découverte
d’un antibiotique actif contre le B.K., la Streptomycine, qu’apparut le premier moyen sérieux de vaincre la tuberculose. Depuis,
d’autres antibiotiques susceptibles de détruire le Bacille tuberculeux ont été
découverts. Le médecin y ajoute des produits chimiques fabriqués en laboratoire
le P.A.S. (1946) et le RIMIFON (1952).
Il ne faut jamais arrêter un traitement, sous prétexte que
l’on va mieux, sans avoir eu pour cela l’avis du médecin. En effet, les
médicaments employés provoquent rapidement une amélioration mais cela ne veut
pas dire que tous les B.K. soient tués. S’il en reste, ils acquièrent au
contraire une vigueur nouvelle lors d’un arrêt de traitement. Si le malade «rechute
», ils résistent aux médicaments c’est ce que l’on appelle le phénomène de «résistance
». Une rechute est alors plus grave qu’une première atteinte, puisque les B.K.
sont devenus résistants aux antibiotiques.
2) Lutte préventive ou prophylaxie.
Pour prévenir la tuberculose, c’est-à-dire pour éviter
qu’elle atteigne les sujets sains, on applique différentes mesures :
ON SUPPRIME LES POSSIBILITES DE CONTAGION:
Pour cela, on procède à l’isolement des malades et au
dépistage des tuberculeux. Cela revient, dit sous une autre forme, à supprimer
ta source de contamination, de propagation de la maladie.
- ISOLEMENT DES MALADES: En principe, on devrait
pouvoir isoler tout sujet contagieux, c’est-à-dire, avant tout, les tuberculeux
pulmonaires qui crachent, Cet isolement est réalisé en sanatorium, à ‘hôpital
où les tuberculeux sont groupés dans des services ou des salles à part, isolés
des autres malades. Cet isolement déplaît au malade et à la famille. Il faut
pourtant l’accepter chaque fois qu’il est possible car on ne peut pas l’obtenir
vraiment quand le malade demeure chez lui.
Pratiquement, cet isolement complet du malade n’est
par rendu obligatoire par la loi. De plus, en Afrique,
il n’est pas toujours possible de donner à tous les tuberculeux contagieux la
possibilité d’isolement suppose un équipement médical très important, très
onéreux, très difficile à réaliser, que notre pays n’a pas encore. L’éducation
des malades et de leurs famille devrait pouvoir permettre de remédier en
partie, a l’impossibilité fréquente d’isoler le malade. Toute famille où il y a
un tuberculeux devrait savoir qu’il faut :
• désinfecter la maison: il existe dans chaque
commune un service de désinfection et le chef de famille doit demander, en en
donnant la raison, une désinfection générale de son logement, Cette
désinfection tue les B.K. que le tuberculeux a répandu autour de lui et qui
vivent de longs mois si l’habitation est sombre (la lumière tue les B.K.);
• réserver au malade une pièce où il soit seul ou, si
vraiment cela est impossible, l’isoler au maximum dans une pièce où personne ne
partagera son lit
• apprendre au malade à ne pas cracher par terre,
mais dans un crachoir que l’on désinfectera chaque jour par un séjour prolongé
dans de l’eau de Javel pure;
• recueillir le linge du malade à part, le laver à
part, le faire bouillir 1/4 d’heure;
• donner au malade des objets personnels qu’en aucun
cas les autres membre de la famille n’utiliseront (verre, cuillère, assiette)
et les ébouillanter, à part, après
usage.
Ces précautions élémentaires ne suffisent certes pas pour
éviter tous les cas de contagion, mais elles peuvent les limiter
considérablement. Il arrive de rencontrer des familles entières de tuberculeux
: père, mère, enfants. li est évident que c’est alors une seule personne malade
qui a contaminé toutes les autres.
- DEPISTAGE DES TUBERCULEUX: il y a beaucoup de gens
qui ne consultent le médecin que lorsque ta maladie est très avancée. Beaucoup
d’autres traînent sans le consulter. Il y a enfin qui présentent une
tuberculose à son début, qui ne sont pas encore contagieux, qu’il serait facile
de guérir. Comment « dépister » ces personnes?
pour les traiter d’une part, et pour protéger l’entourage
d’autre part.
On dispose de deux moyens, que vous connaissez sûrement,
dont vous êtes peut- être l’objet, mais que vous n’avez pas toujours compris.
li s’agit
-de la cuti-réaction
- de la radiographie annuelle obligatoire.
Ces deux moyens sont appliqués sur des collectivités élèves
des écoles, fonctionnaires, etc....
La cuti-réaction :
Quand on vous fait une « cuti », e médecin ou l’infirmière
fait sur votre peau deux petites scarifications (entailles superficielles) sur
lesquelles il dépose une goutte d’un liquide appelé «tuberculine ». On vous
demande de revenir 3 jours après pour la « lecture des résultats ». Si, à
l’endroit des scarifications, il y a une réaction de la peau qui rougit, se
boursoufle, durcit, le médecin dit « cuti-réaction positive » et il
inscrit sur votre fiche de santé un, deux, ou trois signes + Si, au contraire,
la peau est restée normale, il dit « cuti-réaction négative », et il
inscrit sur la fiche de santé un signe -. Que signifie tout cela?
Nous avons vu, au paragraphe précédent, les trois étapes
franchies par le B.K. dans le cas de la tuberculose pulmonaire. Nous les
rappelons
- chancre d’inoculation,
- infection des ganglions voisins du chancre,
- généralisation de la tuberculose.
C’est lorsque la troisième étape est atteinte que la maladie
est établie.
Or il se trouve que beaucoup de personnes subissent
l’attaque des B. K. mais n’arrivent pas au troisième stade. Le chancre
d’inoculation se forme, les ganglions voisins du chancre sont aussi atteints
par les B. K. mais tout s’arrête là. Les Bacilles sont maintenus prisonniers,
au niveau du chancre et des ganglions qui durcissent. Parfois même, ils
finissent par être tués. L’organisme sort victorieux de cette première atteinte
des B. K. on dit que l’organisme a fait une « primo-infection ».
Conséquence de cette primo-infection l’organisme devient
très sensible aux B.K. S’il subit une autre atteinte par les Bacilles, il
réagit violemment on dit qu’il est devenu « allergique » au B.K.
C’est cet état « d’allergie » qui accompagne une
primo-infection que l’on décèle par la cuti-réaction. La tuberculine est un
liquide obtenu à partir de culture de B.K. qui sont ensuite tuées, filtrées et
concentrées. Il est donc normal qu’après une primo- infection la « cuti »
devienne positive. C’est même le signe que l’organisme se maintient en état
d’alerte et est capable de réagir à une nouvelle atteinte des B.K.
Par la cuti-réaction, on décèle, notamment chez le
jeune, le passage d’un état négatif » à un état « positif ». L’organisme lutte
alors contre un microbe qui cherche à l’envahir. On surveille cette lutte et,
au besoin, on « aide » l’organisme à en sortir victorieux. Une « cuit » bien
surveillée c’est souvent un tuberculeux de moins.
a) La radioscopie obligatoire:
La cuti-réaction ne permet pas de déceler état de maladie.
Comprenez bien qu’elle n’est utile que si elle est pratiquée de façon suivie,
chez des sujets sains (enfants des écoles par exemple) permettant de déceler et
de surveiller la période de « virage ». Le diagnostic de l’état de maladie, dès
son début, se fait pat l’examen radioscopique qui permet de déceler l’existence
de premières lésions. C’est pourquoi, dans les écoles, les élèves passent
chaque année « à la radio ». De même, dans certaines professions, la « radio »
annuelle est obligatoire.
b) On vaccine les sujets sains .
Il existe un vaccin, le B.C.G. (« Bacille Calmette Guérin »,
fabriqué par I’ Institut Pasteur). Le résultat obtenu est un peu différent de
celui obtenu par les autres
« vaccins ».
Ici, le sujet n’est pas « immunisé », car l’immunité est
impossible à obtenir vis à vis du B.K. Le sujet acquiert « l’allergie »
tuberculinique, qui rend l’individu plus résistant à l’infection en somme ; il
fait sa « primo-infection ». Mais il la fait avec un vaccin, c’est-à-dire avec
des germes non virulents, donc sans risque de maladie.
c) Mesures générales d’hygiène.
Mesures individuelles:
La propreté : il faut au maximum entretenir la propreté de
sa maison, laisser le soleil y pénétrer. Les aliments seront mis à l’abri des
mouches et des poussières de la rue (d’ailleurs si la maison est propre, les mouches
n’y seront pas attirées).
Prenons l’habitude de nous laver les mains avant chaque
repas car, durant nos allées et venues, nous touchons bien des objets qui
peuvent être souillés par les microbes. Prenons la bonne habitude (et
faisons-la prendre aux enfants) de ne jamais,cracher à terre.
• L’alimentation : la façon dont un organisme
réagit en face de la maladie dépend de l’état dans lequel il se trouve. Un
sujet sain et vigoureux sortira vainqueur du B.K. lors d’une primo-infection
par exemple ; tandis qu’un individu faible et mal nourri se laissera envahir
par les microbes r ayons donc une alimentation suffisante et équilibrée.
Faisons bouillir le lait, surtout si nous sommes à la
campagne où les contrôles ne
sont pas toujours possibles.
Mesures collectives:
• L’ habitation : le B.K. est facilement détruit par
s lumière, le soleil, la chaleur. Veiller à l’existence de maisons
ensoleillées, aérées, dans des quartiers aux
rues larges où le soleil pénètre, c’est prévenir la tuberculose.
• La lutte contre la misère : il est fait
d’observation courante que la tuberculose est très répandue dans les quartiers
pauvres des villes où les gens sont mal logés et mal nourris. Toute mesure qui
favorise l’amélioration du niveau de vie moyen, est une mesure de lutte contre
la tuberculose.
CONCLUSION
La tuberculose est une maladie redoutable. Les mesures de
lutte sont en grande
partie des mesures collectives. Pourtant, sachons appliquer
les mesures d’hygiène personnelle qui peuvent en limiter les méfaits.